Connexion à DriversCloudCréer un compte DriversCloud.comRéinitialisation du mot de passe DriversCloud.comMigration du compte
Quand un fan de Donjons et Dragons créé sa table de jeu high-tech
Depuis des années, des passionnés de tous bords tentent de marier nouvelles technologies et jeux de rôles / jeux de plateau. Certains grands constructeurs se sont d’ailleurs lancés dans l’aventure et Microsoft avait notamment présenté un écran Surface de 40 pouces de diagonale qui pouvait largement faire office de table de jeu… Personne n’était toutefois allé aussi loin que Caethial, un gros joueur de Donjons et Dragons.
Imaginé par Gary Gygax et Dave Arneson dans les années 70, Donjons et Dragons est en quelque sorte le père de tous les jeux de rôle sur table. Il a convaincu des générations de joueurs et les versions se sont succédé jusqu’à la dernière en date, sortie courant 2014. Comme le rappelle Numerama, cette cinquième version avait ceci de particulier qu’elle intégrait Beyond, une espace de boîte à outils numériques qui permet de redonner un petit coup de jeune au doyen des jeux de rôle. Une orientation nouvelle qui n’allait cependant pas assez loin pour un passionné du nom de Ken Hinxmann, également connu sous son pseudonyme, Caethial.
Nos confrères de Numerama se sont fait l’écho du travail incroyable réalisé par Caethial : il a tout bonnement construit sa propre table numérique dédiée à Donjons et Dragons. L’idée est simple sur le papier : faire trôner un large écran au milieu d’une magnifique table en bois. Pour réaliser son rêve, Ken Hinxmann a opté pour un écran Samsung Smart TV de 101 centimètres capable de restituer une image 4K. Il a ajouté un ordinateur Dell Precision 5720 4K pour servir de compagnon au maître de jeu. Caethial explique que sa table s’appuie sur Fantasy Grounds, un système mis au point par Wizards of the Coast afin d’agir comme une table virtuelle.
Ken Hinxmann précise enfin que la table en elle-même a coûté environ 120 dollars, mais il omet de préciser le prix de son écran et de l’ordinateur… Quand on aime, on ne compte pas !